mardi 13 février 2007

7 janvier 2007

Je crois savoir pourquoi les dernières minutes de mon homme me hantent à ce point.

C'est parce que c'étaient les derniers instants où il était vivant, où il était chaud, où il respirait, même difficilement, où son coeur battait. Je m'accroche à ces derniers instants de sa vie, parce que c'était encore sa vie, pas sa mort.


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