mardi 13 février 2007

26 janvier 2007

Par moment, je ne peux pas dire que je l'oublie, mais je commence à accepter. Et à d'autres, comme aujourd'hui par exemple, tout me revient. J'ai envie de lui parler. Il n'est pas là. C'est comme s'il était en clinique ou en maison de repos. Il faudrait que je lui téléphone. J'ai envi de lui téléphoner, de l'avoir, là, au bout du fil. Rien qu'un petit mot, au téléphone.

Et puis, il y a des trucs idiots qui me font mal. C'était lui qui faisait les comptes. Moi, j'ai toujours eu horreur de ça. Je mettais mes tickets de carte bleue de côté, dans un cahier bleu. Et quand il s'y mettait, il sortait tout ça et il vérifiait tout. Je continue à mettre les tickets dans le cahier bleu, où ils s'accumulent. Comme s'il allait venir s'en occuper un jour.

Aucun commentaire: